Charles Gray

Les diamants sont éternels

J1290

Réalisé par Guy Hamilton (1971). Toutes les informations sur ce film sur imdb

L’affiche pour la ressortie du film les diamants sont éternels illumine la composition de sa lumière cristalline en mille éclats qui proviennent du satellite surgissant de l’espace infini noir profond telle une boule à facettes plate stratosphérique.

Le personnage central est bien sûr le héros autour duquel le scénario gravite, James Bond soutenu en apesanteur par deux sublimes sirènes brune et blonde vêtues de combinaisons spatiales technologiquement à la pointe de la légèreté, qui brassent à pleines poignées des poussières d’étoiles cristallines hors de prix.

Le bras géant télécommandé du petit robot sonde astronaute, extrait grâce à sa pince ce trio de choc et de charme, de la scène de combat représentée en deuxième plan. Cette dernière est exprimée de manière traditionnelle à la franchise 007, avec des explosions telluriques sur une plateforme offshore, provoquées par des hélicoptères de combat en escadrille et des hommes grenouilles flottants dans le ciel – il ne faut pas chercher midi à quatorze heures car l’océan et le ciel sont de la même couleur : bleu -.

Le cosmonaute et seul vrai capitaine à bord, Sean Connery va tantôt affronter ou servir la galerie légendaire des personnages de ce film interprété par Charles Gray, Jill St. John, Lana Wood, Bruce Cabot, Jimmy Dean, Putter Smith, Bernard Lee, Desmond Llewelyn, Lois Maxwell.

Les diamants sont éternels

J1076

Réalisé par Guy Hamilton (1971). Toutes les informations sur ce film sur imdb

L’affichette de ressortie au format 40*60cm non signée des Diamants sont éternels est composée très traditionnellement de l’emblèmissime Sean Connery, qui endosse pour la dernière fois officiellement – il reprendra en 1983 le rôle dans Jamais plus jamais, mais cet opus ne fera pas partie de la licence officielle – le smoking du très british James Bond.

Il est bien sûr entouré de deux belles James Bond girls, une blonde et une rousse, au milieu d’une scène d’action qui rassemble plusieurs autres scènes avec des hélicoptères, des explosions, des cosmonautes et une voiturette téléguidée.

Autour de 007, une foule de très bons acteurs complètent la distribution étincelante comme des diamants : Charles Gray, Jill St. John, Lana Wood, Bruce Cabot, Jimmy Dean, Putter Smith, Bernard Lee, Desmond Llewelyn, Lois Maxwell.

Tutti contro James Bond

J1208

Affiche italienne signée par Ciriello, qui présente un festival consacré à James Bond en 1970.

Ce superbe dessin se compose de l’agent secret anglais le plus connu au monde au centre de son univers, entouré des portraits de ses plus farouches adversaires – de gauche à droite Charles Gray, Telly Savalas, Gert Fröbe, Harold Sakata, Donald Pleasence et Adolfo Celi. Ces bobines charmantes et tellement sympathiques sont colorées individuellement pour donner à chaque personnage sa spécificité chromatique et de caractère. On passe ainsi du violet, au rouge en passant par le vert, le orange, le bleu et enfin le jaune.

Les six films présentés lors de ce festival sont listés dans la partie basse de l’affiche en deux couleurs alternées noir et rouge :

  • James Bond 007 contre Dr. No
  • Bons baisers de Russie
  • Goldfinger
  • Opération tonnerre
  • On ne vit que deux fois
  • Au service secret de sa majesté

Cette magnifique affiche singulière dans le monde des collectionneurs, représente plus qu’un seul film du thème très recherché James Bond, mais la série entière des 5 films officiels de la licence tournés par Sean Connery avant 1970 – il manquera Les diamants sont éternels en 1971 – et l’unique tourné par George Lazenby en 1969. Cette composition chorale donne à cette pièce une dimension historique et originale qui met en avant aussi bien le personnage principal James Bond que les principaux méchants de ces 6 épisodes mythiques – Dr. No alias Joseph Wiseman n’est pas présent pour une raison inconnue et mystérieuse, peut-être n’est-il pas mis hors d’état de nuire 😉 -.