Réalisé par John Boorman (1974). Toutes les informations sur ce film sur imdb
Affichette non signée.
Film avec Sean Connery, Charlotte Rampling, Sara Kestelman, John Alderton et Bosco Hogan.
Réalisé par John Boorman (1974). Toutes les informations sur ce film sur imdb
Affichette non signée.
Film avec Sean Connery, Charlotte Rampling, Sara Kestelman, John Alderton et Bosco Hogan.
Réalisé par Irvin Kershner (1983). Toutes les informations sur ce film sur imdb
L’affiche allemande de Jamais plus jamais est superbement dessinée par Casaro.
Comme la plupart des visuels internationaux de ce film, Sean Connery dans le rôle titre, pointe son pistolet vers le spectateur avec un sourire discret et ironique. Il est intéressant de comparer cette posture avec celle du visuel français et de constater que les deux affichistes n’ont pas dû utiliser la même photo de la séance de promotion, car Casaro a choisi celle où le flingue est porté plus bas et la tête plus redressée vers le haut. On retrouvera d’ailleurs les mêmes détails aussi représentés dans le visuel français comme les cheveux grisonnants ou les rides sur le visage de 007 toujours habillé dans son smoking noir avec nœud papillon : toujours la classe!
Autour de lui on retrouve Barbara Carrera en ténébreuse tentatrice – revêtue d’une tenue acceptée esthétiquement uniquement dans les 80’s – avec un gros flingue dans les mains. Kim Basinger est elle magnifiquement dessinée avec son maillot de bain tigre, devenu célèbre par la suite pour son côté félin.
On retrouve aussi par rapport au visuel français, le propulseur individuel, la moto en vol ainsi que quelques palmiers sur la droite mais Casaro remplace le type de la voiture par une plus anglaise à droite et ajoute des décors supplémentaires à gauche en arrière plan d’une scène de bataille, avec le sous-marin gadget déplacé par des câbles métalliques comme un téléphérique.
Les autres acteurs qui accompagnent James Bond dans cette dernière aventure de l’air Sean Connery sont Klaus Maria Brandauer, Max Von Sydow, Bernie Casey, Alec McCowen, Edward Fox, Pamela Salem et Rowan Atkinson.
Réalisé par Irvin Kershner (1983). Toutes les informations sur ce film sur imdb
Michel Landi signe avec cette superbe affiche, son unique visuel de la série des James Bond with Sir Sean Connery himself !
Cet opus non officiel de la franchise a la particularité de faire endosser le rôle de 007 à celui par qui tout a commencé et qui restera pour beaucoup, l’acteur emblématique à camper ce personnage mythique.
On est donc en 1983 et on n’hésite pas à jouer sur le côté vieillissant de l’acteur – et donc du personnage dans le film – jusque dans sa représentation sur les affiches de cinéma, avec bien sûr toujours la classe internationale et le sourire ravageur – voir ironique et parodique – mais aussi avec les cheveux grisonnants ainsi que de nombreuses rides sur le visage en particulier au niveau du bord de ses yeux.
Le temps ne fait rien à l’affaire, quand on est James Bond, on l’est pour l’éternité même si c’est pas toujours facile ! Alors il faut ajouter deux magnifiques créatures que sont Kim Basinger et Barbara Carrera en tenue légère pour lui tenir compagnie ainsi qu’une troisième fille stylisée comme dans un rêve – la gloire du passé derrière lui ? – avec un flingue qui a l’air plus réel, et tout cela parce qu’il le vaut bien.
Et puis 007 n’est rien sans ses gadgets mécaniques que sont la voiture à Bond, la moto à Bond ou le propulseur individuel à Bond. Bref, lorsque l’on ajoute le yacht et les palmiers, on peut pressentir que l’action ne va pas se passer en Antarctique ! Heureusement pour le reste de la distribution car sinon il aurait fallu adapter les costumes de Klaus Maria Brandauer, Max Von Sydow, Bernie Casey, Alec McCowen, Edward Fox, Pamela Salem et Rowan Atkinson à ces latitudes moins accueillantes.
Réalisé par Irvin Kershner (1983). Toutes les informations sur ce film sur imdb
Comment dire une phrase absolue comme Jamais plus jamais dans un petit format d’affiche 40cm par 60cm ?
Il faut demander à Michel Landi qui choisit comme la tradition l’exige, une composition tournée autour du personnage central 007, interprété par Sean Connery, dont le nom est mis en avant dès la première ligne en haut, à la même taille que James Bond.
Le plus détendu des espions britanniques pointe son Walter PPK vers le spectateur un sourire aux lèvres – comme pour dire me revoilà pour une dernière fois – entouré des deux actrices majeures de cet opus, la blonde et délicieuse Kim Basinger à notre gauche et l’envoutante ténébreuse brune Barbara Carrera de l’autre côté.
Sont représentés aussi en bas quelques éléments habituels de la franchise : les palmiers qui avec les maillots de bain des damoiselles font penser au soleil et aux tropiques, le yacht gigantesque du grand méchant joué par Klaus Maria Brandauer, la petite voiture de marque française me semble-t-il mais costaude, une moto futuriste en plein vol et le propulseur individuel qui servira dans l’attaque finale du château.
Les acteurs du reste de la distribution endossent pour une unique fois, les seconds rôles dont les personnages classiques de la série : Max Von Sydow, Bernie Casey, Alec McCowen, Edward Fox, Pamela Salem et Rowan Atkinson.
Réalisé par Guy Hamilton (1971). Toutes les informations sur ce film sur imdb
L’affiche pour la ressortie du film les diamants sont éternels illumine la composition de sa lumière cristalline en mille éclats qui proviennent du satellite surgissant de l’espace infini noir profond telle une boule à facettes plate stratosphérique.
Le personnage central est bien sûr le héros autour duquel le scénario gravite, James Bond soutenu en apesanteur par deux sublimes sirènes brune et blonde vêtues de combinaisons spatiales technologiquement à la pointe de la légèreté, qui brassent à pleines poignées des poussières d’étoiles cristallines hors de prix.
Le bras géant télécommandé du petit robot sonde astronaute, extrait grâce à sa pince ce trio de choc et de charme, de la scène de combat représentée en deuxième plan. Cette dernière est exprimée de manière traditionnelle à la franchise 007, avec des explosions telluriques sur une plateforme offshore, provoquées par des hélicoptères de combat en escadrille et des hommes grenouilles flottants dans le ciel – il ne faut pas chercher midi à quatorze heures car l’océan et le ciel sont de la même couleur : bleu -.
Le cosmonaute et seul vrai capitaine à bord, Sean Connery va tantôt affronter ou servir la galerie légendaire des personnages de ce film interprété par Charles Gray, Jill St. John, Lana Wood, Bruce Cabot, Jimmy Dean, Putter Smith, Bernard Lee, Desmond Llewelyn, Lois Maxwell.
Réalisé par Guy Hamilton (1971). Toutes les informations sur ce film sur imdb
L’affichette de ressortie au format 40*60cm non signée des Diamants sont éternels est composée très traditionnellement de l’emblèmissime Sean Connery, qui endosse pour la dernière fois officiellement – il reprendra en 1983 le rôle dans Jamais plus jamais, mais cet opus ne fera pas partie de la licence officielle – le smoking du très british James Bond.
Il est bien sûr entouré de deux belles James Bond girls, une blonde et une rousse, au milieu d’une scène d’action qui rassemble plusieurs autres scènes avec des hélicoptères, des explosions, des cosmonautes et une voiturette téléguidée.
Autour de 007, une foule de très bons acteurs complètent la distribution étincelante comme des diamants : Charles Gray, Jill St. John, Lana Wood, Bruce Cabot, Jimmy Dean, Putter Smith, Bernard Lee, Desmond Llewelyn, Lois Maxwell.
Réalisé par Guy Hamilton (1964). Toutes les informations sur ce film sur imdb
Quelques notes de musique ou quelques traits de crayon de Jean Mascii et l’univers du très flegmatique agent secret 007 irradie de cette affiche de ressortie de Goldfinger.
Ce visuel très célèbre de la série James Bond représente bien sûr le plus emblématique des interprètes de l’espion anglais Sean Connery, très bien accompagné par sa James Bond Girl Honor Blackman au nom évocateur de Pussy Galore.
Cette scène de lutte avec l’homme de main muet mais costaud aux ordres de l’homme au flingue d’or, fait écho à une autre image du film représentée en dessous, celle du corps doré sans vie de la belle Shirley Eaton.
Sir Connery est entouré dans son médaillon par l’excellent casting qui comprend entres autres Tania Mallet, Bernard Lee, Gert Fröbe, Harold Sakata, Lois Maxwell et Martin Benson.
Réalisé par Basil Dearden (1964). Toutes les informations sur ce film sur imdb
L’affiche du film Woman of straw – en VO dans le texte SVP – signée par Allard, inspire la classe et l’élégance même, attisées par les flammes de la passion naissante dans la paille.
Quel très belle idée de composition de l’affichiste de sublimer en couleurs la magnifique star féminine du film, l’italienne Gina Lollobrigida, au contact du non moins élégant Sean Connery, incarné dans un décor portuaire baigné comme lui d’une lumière bleutée du plus bel effet maritime.
La couleur de la peau de la belle est rehaussée par la teinte rouge framboise de sa superbe robe de soirée, décolletée à souhait, qui rappelle l’incandescence des flammèches d’un feu débutant à partir du titre jaune paille du film.
Au deuxième plan, se fondant dans le décor de façon quasi fantastique, le beau Sean Connery se penche délicieusement pour embrasser l’actrice sur la joue comme subjugué par sa beauté. Son attitude, trahie par la fermeture de ses yeux, inspire la séduction et rappelle au spectateur, d’autres personnages incarnés récemment par l’acteur comme celui d’un agent secret en smoking et papillon noir amateur de champagne et de belles femmes ;-).
La baie et son port représentés en fond seront le théâtre de ce thriller qui s’annonce torride, où évolueront les personnages interprétés par Ralph Richardson, Alexander Knox, Johnny Sekka et Laurence Hardy entres autres.
Réalisé par Steven Spielberg (1989). Toutes les informations sur ce film sur imdb
Il est de retour. Et, cette fois-ci, avec son père.
Avec cette annonce en tête d’affiche, Drew Struzan nous offre une galerie de portraits autour du noyau familial qui comprend le père joué par le mythique Sean Connery et le fils, qui a lui même emprunté son prénom Indiana, au chien tant aimé de son enfance.
Harrison Ford est aussi représenté dans la scène principale de la course poursuite à cheval dans le désert, le revolver à la main pour échapper à un avion, un char, des camions et des voitures pleins de soldats bien agressifs.
Autour de ces deux personnages principaux, l’illustrateur inscrit les portraits des amis en haut John Rhys-Davies, Denholm Elliott et des ennemis en bas Alison Doody et Michael Byrne.
La composition globale du dessin est construite autour d’une fenêtre en pierre, dont les coins sont occupés par quatre portraits et qui s’ouvre en fond, vers la scène d’action dominée par les deux héros de cette fantastique histoire. Cette composition donne un style « vieille pierre » qui sied très bien au sujet du scénario, qui nous transporte dans la quête mystique et épique du Graal.
On peut aussi noté les contributions non négligeables du jeune River Phoenix et du classieux Julian Glover, au triomphe de cet épisode d’anthologie de la série d’aventures des Jones ainsi que Vernon Dobtcheff dans un petit rôle de majordome allemand qui n’est pas dupe à propos des tapisseries du château de Brunwald.
Réalisé par Richard Lester (1976). Toutes les informations sur ce film sur imdb
Ces très belles affiche et affichette non signées, mettent en avant les trois stars de cette dernière aventure de Robin des bois. Sean Connery est le héros vieillissant qui retrouve bien des années après sa gloire, l’amour de sa vie Marianne Audrey Hepburn devenue une religieuse entre temps.
Robert Shaw est le Sherif de Nottingham toujours opposé à Richard Coeur de Lion, Richard Harris : ça ne s’invente pas un prénom prédestiné à ce rôle 😉
Le roi Jean est campé par un plus jeune Ian Holm, plus habitué de nos jours au petites gens qu’aux rôles de souverains 😉
Réalisé par John Guillermin (1959). Toutes les informations sur ce film sur imdb
Il fallait une affiche qui nous transporte au coeur de l’aventure, dans une jungle hostile et peuplée de dangers, pour se plonger dans la grande aventure 🙂
Roger Soubie dessine alors plusieurs symboles comme le crocodile, l’avion écrasé dans le fleuve et la bagarre sur les rochers de la falaise, pour susciter l’envie de partir à l’aventure et ne pas éviter de se mouiller 😉
Ces promesses sont tenues dans cette histoire riche en aventuriers :
Réalisé par Montgomery Tully (1957). Toutes les informations sur ce film sur imdb
Superbe affiche signée Head très typée film noir pour ce polar anglais avec Skip Homeier, Paul Carpenter, Patricia Dainton, Norman Wooland, Margaret Rawlings, Eleanor Summerfield, Alfie Bass et Sean Connery.