Réalisé par Terence Fisher (1958). Toutes les informations sur ce film sur imdb
Affiche signée par Guy Gérard Noël.
Film avec Christopher Lee, Peter Cushing, Michael Gough, Melissa Stribling et Miles Malleson.
Réalisé par Terence Fisher (1958). Toutes les informations sur ce film sur imdb
Affiche signée par Guy Gérard Noël.
Film avec Christopher Lee, Peter Cushing, Michael Gough, Melissa Stribling et Miles Malleson.
Réalisé par Guillaume Radot (1947). Toutes les informations sur ce film sur imdb
Affiche signée par Guy Gérard Noël.
Film avec Ginette Leclerc, Jean Murat et Marguerite Moreno.
Réalisé par Sergey Bondarchuk (1966). Toutes les informations sur ce film sur imdb
Affiche de Guy Gérard Noël.
Film avec Lyudmila Saveleva, Vyacheslav Tikhonov et Sergey Bondarchuk.
Réalisé par Sergey Bondarchuk (1966). Toutes les informations sur ce film sur imdb
Affiche de Guy Gérard Noël.
Film avec Lyudmila Saveleva, Vyacheslav Tikhonov et Sergey Bondarchuk.
Réalisé par Edward Dmytryk (1954). Toutes les informations sur ce film sur imdb
Affiche modèle A de Guy Gérard Noël.
Film avec Humphrey Bogart, José Ferrer, Van Johnson, Fred MacMurray, Robert Francis, Max Wynn, Tom Tully, E.G. Marshall, Lee Marvin, Jerry Paris et Claude Akins.
Réalisé par Robert Hossein (1969). Toutes les informations sur ce film sur imdb
Une corde, un colt et un beau paquet de problèmes !
Minimaliste, étrange et inquiétante … telle est cette affiche signée par Guy Gérard Noël.
La corde nouée en l’air qui attend le cou du condamné et le colt en majesté au premier plan, donnent la première impression sévère et grave de la composition. Ces deux éléments sont représentés telle une nature morte qui attend un public pour un évènement hautement solennel.
Les portraits des acteurs principaux, Robert Hossein et Michèle Mercier, flottent dans le ciel à droite fixant sérieusement du regard le spectateur. Enfin une horde sauvage ou non, chevauche vers le premier plan et annonce des règlements de comptes à l’amiable, des discussions musclées entre cowboys au coin du feu de camp et des échanges de poings de vue sur des sujets toujours philosophiques comme :
L’accompagnement à la fin de vie ou la rédemption sociale par la châtaigne
Guy Gérard Noël réussit dans cette affiche une superbe quadrichromie de rouge, marron, bleu et noir qui apporte chacun une symbolique qui s’appuie sur sa voisine pour fusionner en un tout expressif. Le noir du pistolet fait référence à la mort, le bleu évoque les ombres d’un crépuscule froid, le rouge la passion, le sang et la violence qui déchire un fond indéfini marron.
Guido Lollobrigida sous le nom de Lee Burton, Daniel Vargas, Serge Marquand, Pierre Hatet, Philippe Baronnet, Pierre Collet, Ivano Staccioli, Béatrice Altariba, Michel Lemoine et Anne-Marie Balin font parti de cette longue distribution richement créditée, ce qui est assez rare pour être noté et cité dans son ensemble.
Réalisé par Andrew V. McLaglen (1966). Toutes les informations sur ce film sur imdb
James Stewart est à l’honneur sur cette magnifique affiche signée par Guy Gérard Noël.
Tous les symboles du Western sont présents sur cette fresque qui traite de la vie trépidante des garçons-vachers … plus communément appelés cowboys en version originale 😉
On note ainsi le chapeau et le foulard typique des éleveurs de bovins du grand Ouest américain, porté ici par la star du film James Stewart.
La scène, plus technique, qui est représentée au deuxième plan, est celle d’une transhumance de bétail au galop derrière un chariot qui se disloque et se couche sur le côté, sous le coup d’un accident violent. Si violent que le conducteur s’envole littéralement, agrippé aux brides des deux chevaux de tête qui s’emballent.
Un encart en bas à gauche introduit deux personnages, dont un féminin qui semble rassurer un autre masculin, vêtus de costumes typiquement d’époque.
Enfin le titre est gravé en lettres rouges majuscules sur des pancartes en bois, emblématiques de la propriété des pionniers du Far West.
Maureen O’Hara, Brian Keith, Juliet Mills, Don Galloway et David Brian complètent la distribution de ce Western.
Réalisé par Ramón Torrado (1965). Toutes les informations sur ce film sur imdb
Guy Gérard Noël a choisi, peut-être intentionnellement 😉 , les couleurs rouge sang et or, comme fond pour cette affiche de Western espagnol au doux nom de Texas Jim.
La composition de cette très belle et fière affiche est articulée autour de deux plans principaux et d’un fond représentant un ciel rougeoyant.
Au premier plan, se tient debout le fameux Jim, interprété par Edmund Purdom, qui en habit de cowboy occupe de plein pied la partie gauche de l’affiche. On peut noter l’utilisation dans les habits, de teintes de bleu, qu’affectionne particulièrement l’affichiste et que l’on peut retrouver dans d’autres réalisations Western de l’artiste comme El Perdido, l’implacable poursuite ou l’étoile brisée. On pourrait se risquer à le baptiser : le bleu de Noël ? 😉
A l’arrière plan, des cavaliers à cheval et armés de fusils, se détachent par un beau contraste noir sur fond jaune or. Visuellement l’artiste utilise une nouvelle fois des silhouettes peintes en noir sur un fond d’une autre couleur vive, pour mettre en valeur des ombres dans le lointain, comme dans Superman contre l’invasion des martiens.
En résumé, une superbe affiche exécutée dans le plus pur style Guy Gérard Noël et qui met en avant le casting avec Frank Latimore, Fernando Sancho, Maria Silva et Silvia Solar.
Réalisé par Terence Fisher (1958). Toutes les informations sur ce film sur imdb
La 600ème affiche mérite une oeuvre d’art exceptionnelle et c’est publication faite, avec celle qui est appelée très respectueusement : Le Cauchemar.
La renommée de ce visuel dépasse les frontières de la France et ce titre est bien plus envié, rêvé et fantasmé que collectionné réellement tant il est difficile à se le procurer. Cette représentation du prince des ténèbres est si emblématique d’une vision collective, qu’elle a servi de couverture à de nombreux livres dont l’excellent livre Dans les griffes de la Hammer ou bien à l’affiche de la rétrospective des films de la firme anglaise au musée d’Orsay en 2011.
A partir de cette aura dégagée par cette icône des collectionneurs d’affiches de cinéma fantastique à travers le monde, comment puis-je construire cette article ?
La réponse la plus évidente et aussi la plus simple, est de vous inviter à vous laisser séduire naturellement par son charme enivrant.
Bien sûr je pourrais décrire avec quelle génie Guy Gérard Noël signe son plus beau dessin et réalise une composition parfaite en tous points.
Je ne manquerai pas non plus d’étudier le choix et l’harmonie des couleurs mises au service des émotions suscitées par cette porte ouverte sur l’univers irrésistible du célèbre Comte.
Il y aurait aussi tant à dire sur les prouesses visuelles ainsi que sur les symboles du cinéma fantastique tous réunis en une seule œuvre jusqu’à l’évocation quasi mystique des forces fondatrices du genre.
Mais la plus grande révérence que je puis exécuter face à l’immense beauté de ce chef d’œuvre, est tout simplement d’effacer les mots et de laisser votre regard croiser celui de Dracula en personne, avant d’oser franchir le seuil de votre imaginaire, à jamais marqué par cette scène d’anthologie.
En bas de ce monument, Christopher Lee, Peter Cushing, Michael Gough, Melissa Stribling et Miles Malleson gravent dans le marbre leur nom au générique de nos rêves et cauchemars fantastiques les plus ardents et effrayants.
Réalisé par Don Sharp (1963). Toutes les informations sur ce film sur imdb
Pour l’affichette, Guy Gérard Noël reprend les éléments principaux de l’affiche dans une ambiance proche, mais avec une couleur dominante différente.
La lune en arrière plan, illumine le château gothique aux tour élancées. Dans le ciel les traits du même visage de vampire que pour l’affiche, apparaît en surimpression, avec la même expression menaçante.
Plusieurs chauves-souris volent dans les airs pour rattraper le couple au premier plan entouré d’arbres décharnés. Cette fois-ci, la fille n’est pas blonde mais brune et elle ressemble plus à une vampire prédatrice qu’à une victime en fuite 😉
Les couleurs noires et blanches utilisées dans cette affichette servent pour les traits du dessin mais le bleu qui dominait dans l’affiche est remplacé par un vert inquiétant donnant une ambiance angoissante à souhait.
La typographie du titre endosse un rouge sanguin qui tranche avec le vert de la police des acteurs du casting : Clifford Evans, Noel Willman, Edward De Souza, Jennifer Daniel et Barry Warren.
Réalisé par Don Sharp (1963). Toutes les informations sur ce film sur imdb
Cette année le cadeau au pied du sapin est ce baiser particulier pour ceux qui n’aime spécialement pas l’ail 😉
Cette affiche signée par Guy Gérard Noël, fort à propos aujourd’hui, est composée de 5 plans.
Au premier plan, un couple court vers le spectateur pour s’enfuir d’un château, à travers une forêt aux arbres décharnés. Cette forteresse de style gothique, s’élance grâce à de hautes tours vers le ciel où un visage effrayant aux canines proéminentes, apparaît sur les nuages de couleur bleus nuit.
La lune illumine la scène d’une lueur blanche blafarde à travers une percée dans le ciel couvert. Cette luminosité astrale met en valeur la robe blanche de la demoiselle dont les volutes flottent parmi les couleurs dominantes noires et bleues. Le titre framboise à la typographie bois, tranche avec l’ambiance glacée donnée par le froid des tons de bleu.
Le casting en bleu, au delà du saignant 😉 , est composé de :
Réalisé par François Leterrier (1963). Toutes les informations sur ce film sur imdb
Guy Gérard Noël reste dans le même style de composition que l’affichette pour ce film avec Claude Giraud, Colette Renard, Charles Vanel et Albert Rémy. Le paysage enneigé et froid, les arbres décharnés et le ciel sombre menaçant cultivent une ambiance lourde et désespérée. Les deux éléments en couleurs, la cape et la flaque de sang dans la neige, focalisent l’attention et ajoutent une note dramatique à l’ensemble.