Réalisé par Don Sharp (1963). Toutes les informations sur ce film sur imdb
Affiche one sheet américaine non signée.
Film avec Clifford Evans, Edward de Souza, Noel Willman, Jennifer Daniel et Barry Warren.
Réalisé par Don Sharp (1963). Toutes les informations sur ce film sur imdb
Affiche one sheet américaine non signée.
Film avec Clifford Evans, Edward de Souza, Noel Willman, Jennifer Daniel et Barry Warren.
Réalisé par Bud Yorkin (1963). Toutes les informations sur ce film sur imdb
Affiche signée par Venin.
Film avec Frank Sinatra, Lee J. Cobb, Molly Picon, Barbara Rush, Jill St. John et Dan Blocker.
Réalisé par Don Chaffey (1963). Toutes les informations sur ce film sur imdb
Affiche signée par Rau.
Film avec Todd Armstrong, Nancy Kovack, Gary Raymond, Laurence Naismith, Niall MacGinnis, Michael Gwynn, Douglas Wilmer, Jack Gwillim, Honor Blackman, Patrick Troughton et Nigel Green.
Réalisé par Antonio Boccaci (1963). Toutes les informations sur ce film sur imdb
Affiche française non signée.
Film avec Annie Alberti, Adriano Micantoni et Marco Mariani.
Réalisé par Jean-Luc Godard (1963). Toutes les informations sur ce film sur imdb
Affiche de Jean Barnoux.
Film avec Patrice Moullet, Marino Masé, Geneviève Galéa et Barbet Schroeder.
Réalisé par Jürgen Roland (1963). Toutes les informations sur ce film sur imdb
Mais où est passée la panthère noire de Ratana dans cette affiche signée par Mos?
Ce titre a de quoi intriguer le spectateur et a l’inciter à vouloir en savoir plus sur cette histoire de féline sombre. En deuxième lame, le dessin coloré envoûte par son dynamisme et le mouvement insufflé par le style des traits qui représentent la scène principale de la composition.
Ainsi la gifle donnée par l’homme au pistolet à droite, bouscule violemment – et pas de façon très gentleman – la jeune femme asiatique en robe rouge moulante à gauche, par un mouvement figé dans une représentation en fin de course lorsque la victime tombe en arrière comme flottante dans les airs.
Un jeu de rambardes métalliques et d’escaliers en pierre, amène notre regard à un deuxième plan où des asiatiques regardent la scène de loin d’un air grave et imperturbable, abrités sous leurs chapeaux traditionnels en paille coniques ou sans couvre-chef.
Enfin un visage impressionnant de sérieux et de détermination est incrusté en fond, éclairé par une lumière jaune inquiétante qui met en valeur ce personnage qui jouera indéniablement un grand rôle dans ce scénario servi par Brad Harris, John Cameron, Jerry Moore, Luciana Gilli, Dorothy (Dorothee) Parker, Carlo Tamberlani et Marianne Koch. A noter qu’on retrouve sur Internet, des noms d’acteurs différents par rapport à l’affiche : Heinz Drache, Horst Frank et Chris Howland certainement remplacés sur l’affiche par des noms d’artistes aux consonances plus américaines.
Réalisé par Ishirô Honda (1963). Toutes les informations sur ce film sur imdb
Cette affiche italienne au format locandina signée par Casaro, est exceptionnelle par bien des aspects et se distingue par l’accord parfait entre l’ambiance végétale du dessin et les traces d’humidité et de moisissure d’origine de l’objet, laissées délibérément en l’état infecter les parties blanches.
Matango écrit en rouge vif est sous-titré Il mostro qui, même sans grande notion d’italien, caractérise certainement la beauté et la tendresse du personnage principal, fort banal de l’histoire. Son corps à l’allure humanoïde est recouvert d’une peau de champignons aux couleurs sombres indéfinies et est coiffé d’une tête en forme de cèpe géant verdâtre peu appétissant en l’état.
Il tient dans ses bras, terminées par des mains à au moins quatre doigts visibles, une délicieuse victime humaine à la plastique beaucoup plus travaillée qu’un champs de mousserons. La belle blonde est affublée d’une magnifique robe rouge, tenez encore du rouge !, qui devait être fort saillante avant qu’elle subisse des traitements si indélicats que son aspect ne puisse maintenant plus que couvrir les parties les plus réduites de sa peau frissonnante. Sa position corporelle dans les griffes, ou lamelles en l’occurrence, de la bête mycologique nous suggère en même temps son désir de s’enfuir pour échapper à un triste sort assuré, et l’attitude cinématographique classique lascive de l’héroïne sexy qui va attirer les foules masculines vers ce film de genre. On peut ainsi rapprocher ce visuel d’autres dans le même esprit comme Schlock, Dans les griffes de la momie ou Dunwich horror, mais aussi Les monstres de la mer et Dracula 73.
Il faut bien dire que l’environnement végétal qui entoure ce couple improbable vire au fantastique en particulier avec le bas évanescent du dessin et n’augure par son obscurité, rien de positif pour l’avenir de la jeune demoiselle. Il faut souhaiter bonne chasse dans les bois à Hiroschi Koizumi, Kumi Mizuno, Akira Kubo et Kei Satik.
Réalisé par Robert Wise (1963). Toutes les informations sur ce film sur imdb
Le frisson ne peut que saisir jusqu’au plus profond de son être le spectateur dont le regard innocent se pose sur cette affiche extraordinaire, signée par le maître Roger Soubie.
En effet, l’œil du visiteur est en premier attiré par le visage pure et effrayé de la jeune femme au premier plan, qui fixe avec insistance le danger qui la guette. De la posture de sa tête jusqu’aux détails du dessin de ses yeux et de sa bouche, tous les éléments concourent à traduire la terreur qui paralyse ce personnage et donnent le ton de ce film célèbre réalisé par l’immense Robert Wise.
L’horreur redoutée par la belle, et qui capte toute son attention s’insère judicieusement dans la composition de cette affiche à l’autre bout de son regard. Une main de squelette semble descendre du ciel et pointe l’index de façon menaçante vers sa future victime, en proie désormais à la folie.
Le troisième élément qui capte enfin l’attention, est le décor majestueusement froid et torturé en arrière plan. La demeure, personnage principal du film, est représentée tel un château gothique fait de tours élancées effrayantes et froides, et se dresse au milieu d’une forêt d’arbres décharnés dont les branches frêles et maladives, donnent l’illusion d’une marée informe de mains déformées par la maigreur et le dessèchement, qui s’élèvent plaintivement vers le ciel. Cette vision fantomatique est renforcée par la quasi trichromie de l’affiche, qui emprunte ses effets de formes et de lumière au noir et blanc ainsi que l’impression générale de mort glaciale et de folie, à son bleu profond glacial et inquiétant.
Les principales clés de ce classique du film d’épouvante sont en place, il reste à pousser la porte du cinéma pour entrer, si le spectateur l’ose, dans l’univers fantasmagorique de la maison du diable avec Julie Harris, Claire Bloom, Richard Johnson, Russ Tamblyn et Lois Maxwell (connue en particulier pour son rôle de Miss Moneypenny dans James Bond).
Réalisé par Robert Aldrich (1963). Toutes les informations sur ce film sur imdb
La très belle affiche italienne de cette comédie dans l’univers du Western, est signée par l’affichiste transalpin Ciriello.
La composition est articulée autour de trois plans, et met en scène les quatre personnages et acteurs principaux :
Ces quatre personnages nous donnent envie de les suivre dans cette aventure et de mieux les connaître.
Enfin il ne faut pas oublier au générique, Charles Bronson et Victor Buono qui bien évidemment ne doivent pas démériter le moins du monde.
Réalisé par Don Sharp (1963). Toutes les informations sur ce film sur imdb
Pour l’affichette, Guy Gérard Noël reprend les éléments principaux de l’affiche dans une ambiance proche, mais avec une couleur dominante différente.
La lune en arrière plan, illumine le château gothique aux tour élancées. Dans le ciel les traits du même visage de vampire que pour l’affiche, apparaît en surimpression, avec la même expression menaçante.
Plusieurs chauves-souris volent dans les airs pour rattraper le couple au premier plan entouré d’arbres décharnés. Cette fois-ci, la fille n’est pas blonde mais brune et elle ressemble plus à une vampire prédatrice qu’à une victime en fuite 😉
Les couleurs noires et blanches utilisées dans cette affichette servent pour les traits du dessin mais le bleu qui dominait dans l’affiche est remplacé par un vert inquiétant donnant une ambiance angoissante à souhait.
La typographie du titre endosse un rouge sanguin qui tranche avec le vert de la police des acteurs du casting : Clifford Evans, Noel Willman, Edward De Souza, Jennifer Daniel et Barry Warren.
Réalisé par Don Sharp (1963). Toutes les informations sur ce film sur imdb
L’affichette belge non signée de ce film met l’accent sur les chiroptères du film. En effet la scène finale du film avec l’invasion des chauves-souris, sert de matrice à la composition globale.
Le vol des vampires démarre du château gothique dans le fond et s’abat sur les quatre personnages au premier plan.
Le style du dessin très soigné ainsi que les nombreuses couleurs vives irréelles, donnent une très belle illustration qui rend compte de l’ambiance fantastique de ce film d’épouvante avec :
Réalisé par Don Sharp (1963). Toutes les informations sur ce film sur imdb
Cette année le cadeau au pied du sapin est ce baiser particulier pour ceux qui n’aime spécialement pas l’ail 😉
Cette affiche signée par Guy Gérard Noël, fort à propos aujourd’hui, est composée de 5 plans.
Au premier plan, un couple court vers le spectateur pour s’enfuir d’un château, à travers une forêt aux arbres décharnés. Cette forteresse de style gothique, s’élance grâce à de hautes tours vers le ciel où un visage effrayant aux canines proéminentes, apparaît sur les nuages de couleur bleus nuit.
La lune illumine la scène d’une lueur blanche blafarde à travers une percée dans le ciel couvert. Cette luminosité astrale met en valeur la robe blanche de la demoiselle dont les volutes flottent parmi les couleurs dominantes noires et bleues. Le titre framboise à la typographie bois, tranche avec l’ambiance glacée donnée par le froid des tons de bleu.
Le casting en bleu, au delà du saignant 😉 , est composé de :